Founded Year

2019

Stage

Series D | Alive

Total Raised

$401.15M

Valuation

$0000 

Last Raised

$145M | 2 yrs ago

Mosaic Score
The Mosaic Score is an algorithm that measures the overall financial health and market potential of private companies.

-4 points in the past 30 days

About Pigment

Pigment provides integrated business planning and financial planning software in the business technology sector. Their platform includes tools for financial planning, sales and revenue planning, human resource (HR) and workforce planning, supply chain resilience, and environmental, social, and governance (ESG) performance integration. Pigment serves finance, sales, HR, supply chain, and ESG teams. It was founded in 2019 and is based in Paris, France.

Headquarters Location

86-90 rue Notre-Dame de Nazareth

Paris, 75003,

France

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ESPs containing Pigment

The ESP matrix leverages data and analyst insight to identify and rank leading companies in a given technology landscape.

EXECUTION STRENGTH ➡MARKET STRENGTH ➡LEADERHIGHFLIEROUTPERFORMERCHALLENGER
Enterprise Tech / Enterprise Applications

The financial planning & analysis software (FP&A) market, also known as corporate performance management (CPM), offers solutions to simplify and automate the planning, budgeting, forecasting, reporting, and analysis processes for finance professionals in various industries. These solutions aim to reduce manual tasks, increase collaboration, provide real-time insights, and adapt to changing busines…

Pigment named as Challenger among 15 other companies, including Oracle, IBM, and Workday.

Pigment's Products & Differentiators

    Pigment

    Planning Apps

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Research containing Pigment

Get data-driven expert analysis from the CB Insights Intelligence Unit.

CB Insights Intelligence Analysts have mentioned Pigment in 2 CB Insights research briefs, most recently on Aug 23, 2024.

Expert Collections containing Pigment

Expert Collections are analyst-curated lists that highlight the companies you need to know in the most important technology spaces.

Pigment is included in 5 Expert Collections, including SMB Fintech.

S

SMB Fintech

1,231 items

F

Fintech

14,203 items

Excludes US-based companies

F

Fintech 100

100 items

U

Unicorns- Billion Dollar Startups

1,309 items

H

HR Tech

6,137 items

The HR tech collection includes software vendors that enable companies to develop, hire, manage, and pay their workforces. Focus areas include benefits, compensation, engagement, EORs & PEOs, HRIS & HRMS, learning & development, payroll, talent acquisition, and talent management.

Latest Pigment News

L’Intelligence artificielle, une technologie entre mirages et vrais virages

Nov 17, 2025

SPÉCIAL AIM 2025 - Trois ans après la déferlante de l’IA générative, les agents peinent à démontrer leur utilité et les gains de productivité déçoivent. Pendant ce temps, OpenAI s’emploie à bâtir un nouvel Internet dont la porte d’entrée serait ChatGPT. Plusieurs observateurs pensent que l'IA est une bulle prête à exploser LTD/Laura Acquaviva Partager « Ce n’est que du slop ». Comprendre : de la bouillie. Les mots d’Andrej Karpathy, chercheur influent et co-fondateur d’ Open-AI , tombent comme un couperet. Au micro d’un podcast, l’informaticien bâche l’enthousiasme autour des applications de l’IA générative en entreprise. Il vise les agents, ces systèmes pouvant effectuer en quasi-autonomie des tâches spécifiques – du service client à la planification – et comparables en cela à un salarié, selon Karparthy. Pour lui, ils ne seront pas vraiment efficaces avant une décennie. « L’industrie prétend qu’ils marchent déjà à merveille, mais ce n’est pas vrai, insiste-t-il. Ils ne sont pas assez intelligents, n’ont pas assez de mémoire, ne sont pas assez multimodaux… » Ces mots reflètent l’ambiance, trois ans après le déferlement de l ’IA générative dans nos vies : une légère désillusion. Plusieurs observateurs parlent même d’une bulle prête à exploser. Les gains de productivité, quoique visibles dans certaines entreprises, ne sont pas encore massifs. Et parfois, l’IA fait même perdre du temps. « Il y a eu un effet soufflé, car cette technologie est arrivée dans les entreprises comme une solution qui n'a pas encore trouvé son problème », observe Pascal Bizzari, DG du cabinet Avisia. Paradoxalement, les dirigeants continuent d’y croire et d’investir dans ces technologies. Une récente étude du Boston Consulting Group estime que les agents, qui n’existent que depuis un an, constituent déjà 17 % des investissements dans l’IA. Et cette part devrait doubler l’an prochain. Certaines sociétés invoquent déjà l’IA pour justifier d’impressionnantes coupes dans leurs effectifs. Cependant, d’autres chiffres sèment le doute. Ceux du Census Bureau aux États-Unis, par exemple, montrent un ralentissement, depuis juillet, de l’adoption de l’IA dans les grandes entreprises. Les promesses, elles, restent grandiloquentes. En octobre dernier, elles se sont étalées lors de la grand-messe de Salesforce, à San Francisco, à laquelle nous avons assisté. Le géant américain du logiciel présentait, à grands coups d’efforts marketing, plusieurs dizaines d’entreprises déjà clientes de ses agents. Certaines, comme Dell, revoient en profondeur leur méthode de travail et gagnent plusieurs jours sur leur chaîne d’approvisionnement. Mais Marc Benioff, exubérant PDG de la firme qui, il y a encore un an, parlait de « force de travail numérique » accessible à portée de clic, a tempéré quelque peu son discours. « Le taux d’accélération de la technologie et de l’innovation dépasse de loin le taux d’adoption des agents », a-t-il répété à plusieurs reprises. Et dans les allées du salon, les entreprises présentaient surtout des chatbots de service clients plus peaufinés que les précédentes générations, mais assez loin du « salarié virtuel ». Pas de baguette magique « Il y a du scepticisme, car les agents, même s’ils sont plus ciblés qu’un ChatGPT et, donc, plus simples à déployer, ne sont pas des baguettes magiques. Le coût et le temps du changement restent incompressibles », explique Sophie Dionnet, vice-présidente produit et solutions business de Dataiku, start-up spécialiste de l’IA. « Ces outils sont efficaces si l’entreprise dispose déjà d’informations fiables et bien organisées », abonde Édouard Beaucourt, directeur général Europe de Pigment, autre champion tricolore du secteur qui vient de lancer ses propres agents spécialisés dans l’analyse de données financières. Mieux vaut éviter de mettre à la disposition d’un agent 12 versions différentes du même document, car il ne sera pas capable de savoir que la dernière fait foi. Sans oublier les nouveaux risques cyber et le coût énergétique colossal que ces nouveaux outils génèrent, et auxquels les entreprises doivent se préparer. L’industrie butte, par ailleurs, sur des problèmes persistants. Notamment les erreurs, parfois appelées « hallucinations », que commettent régulièrement ces modèles. Ils s’appuient sur des probabilités pour deviner le mot suivant, et sont donc prompts à inventer des faits. En septembre dernier, OpenAI déclarait que ce défi restait l’un des plus importants de l’industrie. Comme les modèles sont davantage récompensés à deviner, la seule solution serait donc de revoir en profondeur leur technique d’apprentissage, estime le créateur de ChatGPT. Ces limites expliquent sans doute pourquoi la révolution promise par l’IA en entreprise tarde à se concrétiser. Mais, alors que la majorité des sociétés tâtonnent encore, c’est ailleurs que la mutation se joue : dans la manière dont l’IA est en train de remodeler le Web et, avec lui, toute l’économie numérique. Malgré ses erreurs, ChatGPT a bouleversé nos habitudes de recherche, en particulier chez les plus jeunes : selon une étude de l’agence Heaven, 60 % des 18-25 ans ont souvent recours à ChatGPT et à d’autres IA pour chercher des informations. De quoi perturber sérieusement Google . Le moteur de recherche a répliqué en intégrant sa propre fonctionnalité de synthèse automatisée, « AI Overview », pour le moment indisponible en France. « L’enjeu de cette course est de déterminer qui dominera la prochaine ère du Web », résume Arthur Kannas, président de l’agence Heaven. Le Web en plein bouleversement Les signaux d’un basculement s’accumulent. Le trafic « réel » sur Wikipédia , généré par des vues humaines, a chuté de 8 % sur un an. Selon Similarweb, la part du trafic mondial en provenance des moteurs de recherche a reculé de 5 % en douze mois, tandis que, sur Google, les requêtes d’actualité qui ne génèrent aucun clic sont passées de 56 % à 69 %. « On entre dans un internet sans trafic », projette Arthur Kannas. Cette nouvelle donne inquiète. « Si les contributeurs, qui vivent des abonnements ou de la publicité, ne sont plus lus, ils ne seront plus incités à produire, alerte Fabian Suchanek, chercheur à Télécom Paris. On risque un appauvrissement du web, pénalisant aussi bien les internautes que les modèles d’IA, privés de contenu frais à ingérer ». Dans un article scientifique récent, le chercheur alerte sur une possible « cannibalisation du Web » par les IA. Julien Cadot, directeur général du groupe média Humanoid (Numerama, Frandroid), observe déjà cette évolution. « Depuis un an, je constate des baisses d’audience. Difficile de dire si cela vient des IA ou de Google, mais le mouvement est là ». L’impact est d’autant plus significatif que ces contenus sont le pilier du modèle d’affiliation, qui représente 30 % des revenus du groupe. « C’est une phase d’incertitude, et il faudra sans doute que ça aille mal avant d’aller mieux ». Face à ces bouleversements, Humanoid multiplie les initiatives : renforcement de la vidéo, consolidation des communautés de lecteurs, et expérimentation avec Perplexity, le moteur de recherche dopé à l’IA. De son côté, Le Monde a signé avec OpenAI : en échange de ses articles utilisés pour l’entraînement des modèles, le quotidien bénéficie d’une meilleure visibilité dans ChatGPT. Un privilège rare : en France, le quotidien est le seul à y avoir accès. Les médias plus petits, mais pointus sur des sujets précis, qui ne bénéficieront pas de cette visibilité, risquent de disparaître. ChatGPT, le nouveau TikTok ? Marques et médias explorent aussi d’autres pistes : soigner leur présence dans les chatbots. « ChatGPT, Grok (l’IA d’ Elon Musk ) ou Gemini (Google) sont devenus des sortes d’influenceurs, observe Marie Raimbert--Galtier, directrice générale de Jellyfish, agence de marketing. Leur impact peut être comparable à celui d’une tendance TikTok, mais sur un public avec un plus fort pouvoir d’achat ». Selon une étude de l’agence, 47 % des Français de plus de 40 ans reconnaissent avoir été influencés par un chatbot dans leurs choix d’achat. Jellyfish, comme d’autres agences, propose ainsi des outils permettant de suivre de près sa réputation sur ses chatbots, et tenter de l’influencer. Ces dernières semaines, la prise d’assaut du Web par OpenAI s’est accélérée. ChatGPT s’est doté d’un fil d’actualité personnalisé, d’un système de paiement, d’applications directement intégrées… De quoi faire son shopping, réserver un hôtel via Booking ou écouter de la musique sur Spotify , suivre l’actualité… sans sortir du chatbot. Tout récemment, la firme a annoncé le lancement de son navigateur dopé à l’IA, Atlas, qui résume les pages visitées et enregistre les préférences des utilisateurs. Pour Julien Cadot, cette évolution « marque peut-être la fin du web ouvert ». Selon lui, l’économie construite sur cet Internet – notamment les médias, les commerces en ligne et les créateurs de contenu - est remise en cause. OpenAI devient une sorte de nouveau web, où tout est accessible à l’intérieur d’une seule interface. L’entreprise suit ainsi la trajectoire des Big Tech avant elle : bâtir un empire si massif qu’il en devient inévitable. Récemment, le média américain The Information rapportait un mémo interne, révélateur, d’un cadre dirigeant d’OpenAI. Il y expliquait son objectif : atteindre un milliard d’utilisateurs actifs chaque semaine et faire de ChatGPT un produit « aussi indispensable qu’une brosse à dents ». À lire également

Pigment Frequently Asked Questions (FAQ)

  • When was Pigment founded?

    Pigment was founded in 2019.

  • Where is Pigment's headquarters?

    Pigment's headquarters is located at 86-90 rue Notre-Dame de Nazareth, Paris.

  • What is Pigment's latest funding round?

    Pigment's latest funding round is Series D.

  • How much did Pigment raise?

    Pigment raised a total of $401.15M.

  • Who are the investors of Pigment?

    Investors of Pigment include Institutional Venture Partners, Meritech Capital Partners, Felix Capital, Sandberg Bernthal Venture Partners, ICONIQ Growth and 14 more.

  • Who are Pigment's competitors?

    Competitors of Pigment include Spindle AI, Arbor, Abacum, Una Software, Aktio-Apave and 7 more.

  • What products does Pigment offer?

    Pigment's products include Pigment.

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Compare Pigment to Competitors

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Abacum

Abacum offers a financial planning and analysis (FP&A) software platform that operates within the finance technology sector. It offers tools for budgeting, forecasting, revenue, headcount planning, and investor and financial reporting automation. It was founded in 2020 and is based in New York, New York.

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Planful

Planful focuses on financial performance management in the software industry. The company offers a platform that streamlines business-wide planning, budgeting, consolidations, reporting, and analytics, aiming to empower finance, accounting, and business users to plan confidently, close faster, and report accurately. Planful primarily serves sectors such as finance, marketing, accounting, human resources, sales, and IT. Planful was formerly known as Host Analytics. It was founded in 2000 and is based in San Francisco, California.

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Vena Solutions

Vena Solutions provides financial planning and analysis (FP&A) software that integrates with Microsoft Excel and other Microsoft 365 applications. The company offers a platform for budgeting, forecasting, financial reporting, and analysis through tools with native Excel integrations. Vena Solutions serves sectors such as banking, SaaS, healthcare, manufacturing, and professional services. It was founded in 2011 and is based in Toronto, Canada.

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Anaplan

Anaplan provides connected planning solutions for business performance in various sectors. The company offers a platform that allows organizations to model scenarios, forecast, and make informed decisions. Anaplan's services are utilized in finance, supply chain, sales, human resources, and workforce planning across industries like consumer goods, financial services, manufacturing, and retail. It was founded in 2006 and is based in Miami, Florida.

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DataRails

DataRails operates as a financial planning and analysis platform operating in the financial technology sector. The company provides automation of financial reporting and planning, allowing finance teams to use spreadsheets and financial models. This automation allows finance teams to spend more time on data analysis instead of data gathering. DataRails was formerly known as Report Hippo. It was founded in 2015 and is based in Tel Aviv, Israel.

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OneStream

OneStream specializes in enterprise finance management software within the financial services sector. Its main offerings include financial planning and analysis and financial close and consolidation, as well as the integration of artificial intelligence. OneStream's solutions aim to unify financial and operational data and streamline financial reporting processes. It was founded in 2012 and is based in Birmingham, Michigan.

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